Revenir… revenir à ce blog, le mois de juillet, et plus encore celui d’août offrant plus de temps et la longue distance pour tenir au quotidien cette heureuse messagerie. Oui, revenir avec une image parmi plusieurs autres de la semaine, du mois, du trimestre. L’image d’un maître, le toréro espagnol José Tomas qui fera l’événement dans les arènes de Bayonne le 7 août prochain. Un seigneur parmi les très élégants El Fundi et Sébastien Castella. On y sera, j’y reviendrai…
Plaza de Toros, Bayonne, août – septembre, 2009.
La corrida, quelle horeur, quel massacre, quellle honte pour l’Humanité, quelle dégradation pour l’Homme, aussi bien pour celui qui regarde (et applaudit …) que pour celui qui tue. A vomir.
Ne polémiquons pas sur la corrida, les « anti » étant souvent particulièrement véhéments.
Ce sera un honneur et un immense plaisir d’être dans les arènes de Bayonne ce Vendredi, malgré la pluie annoncée…
José Tomas est une icône, un maître, avec lui, la tauromachie confine au sacré. Des moments d’éternité gravés dans la mémoire : l’animal (déjà célébré dans certains cultes très anciens) est sublimé lors de ce 1/4 d’heure de gloire qui lui est offert au centre de la plaza.
Bien plus qu’un automobiliste qui lève bien haut, dans un geste rageur, son majeur, en fuyant bien vite.
José Tomás ce n’est qu’un mythe fabriqué de toutes pièces. Voila ce que nous les puristes voyons dans l’arène.Tout le reste ce n’est que du bla, bla, bla, un joli mirage qui fait tourner la tête aux ignares.Quand une veritable figure de l’art viendra nous montrer des veritables faenas? Dans mon pays tous les veritables aficionados sont de mon avis.
Mais on laisse faire car nous avons besoin d’un idole en attendant…un deuxième Manolete.